UNE TROISIÈME ÉDITION INSPIRANTE AU CÉGEP DE RIMOUSKI!

9 mars 2017

Rimouski, le 9 mars 2017. –  C’est sous le thème « Cinq films qui font jaser » que s’est déroulée la nouvelle édition du Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ) au Cégep de Rimouski. Soutenue financièrement par la Direction des études et coordonnée pour une troisième année par l’option Cinéma et médias, l’activité regroupait cinq étudiantes et étudiants du collège qui se sont inscrits à cette activité qui regroupe des élèves de 55 cégeps du Québec. Au cours des dernières semaines, les élèves ont visionné cinq films québécois réalisés en 2016. Ils ont eu à échanger, à débattre et finalement à identifier le grand gagnant du concours à Rimouski.

Les films en lice étaient :

PRANK de Vincent Biron
JUSTE LA FIN DU MONDE de Xavier Dolan
MANOIR de Martin Fournier et Pier-Luc Latulippe
LES MAUVAISES HERBES de Louis Bélanger
AVANT LES RUES de Chloé Leriche

C’est le film Avant les rues de Choé Leriche qui s’est mérité la faveur du jury rimouskois. Comme le souligne Caroline Laberge, enseignante en cinéma et co-animatrice du PCCQ : « Les délibérations du jury ont été riches, animées et très formatrices pour tout le monde. La sélection était relevée et le jury a travaillé très fort pour en arriver à ce choix. Les élèves ont fait preuve de rigueur, d’ouverture et de curiosité. Nous sommes très impressionnés par tout ce beau travail. »

Le jury rimouskois délèguera maintenant Mariane Lynch-Boulianne, une étudiante de l’option Cinéma et médias, comme représentante du Cégep de Rimouski aux délibérations nationales qui se dérouleront à Montréal les 24 et 25 mars prochains.

« Nous avons été privilégiés de participer à cette nouvelle édition du Prix collégial du cinéma québécois. C’est une expérience vraiment enrichissante. Nous avons découvert des films très diversifiés, des films sensibles, créatifs. Cette activité permet de développer notre sens critique et notre capacité à débattre dans le respect. C’est surtout une belle façon de découvrir et d’apprécier le cinéma d’ici. » de conclure Mariane Lynch-Boulianne.