La ministre David annonce un investissement de plus de 1,4 m $ à l'Institut maritime du Québec

Rimouski, le 30 août 2016. - La ministre de l’Enseignement supérieur, Mme Hélène David, a annoncé aujourd’hui un investissement de plus de 1,4 million de dollars à l’Institut maritime du Québec pour le remplacement de son simulateur de navigation. Elle était accompagnée du ministre délégué aux Affaires maritimes et ministre responsable de la région du Bas­-Saint-­Laurent, M. Jean d’Amour.

« Ce nouvel investissement confirme l’importance que le gouvernement accorde à la formation professionnelle et technique de même qu’au rôle des régions dans la formation d’une main­d’œuvre qualifiée. Le remplacement de ce matériel pédagogique à la fine pointe de la technologie permettra à l’Institut de continuer d’offrir une formation de premier ordre à ses étudiantes et étudiants », a souligné la ministre.

Mentionnons que le simulateur de navigation est utilisé dans le cadre du programme d’études conduisant au DEC en navigation. Le montant accordé est prévu au Plan québécois des infrastructures pour financer le coût d’acquisition de l’équipement.

« Il s’agit d’une très bonne nouvelle pour la région puisque l’Institut maritime est le seul établissement d’enseignement au Canada à offrir le programme d’études en navigation. Je suis heureux que les étudiantes et étudiants puissent continuer de profiter de cet équipement de pointe qui maximisera leurs apprentissages », a ajouté le ministre d’Amour.

Rappelons que l’Institut maritime du Québec est une composante du cégep de Rimouski depuis 1974 et qu’il a pour mandat d’assurer la formation et le perfectionnement du personnel spécialisé requis par l’industrie du transport maritime et de la construction navale.

Plus de 350 000 $ pour favoriser la mobilité étudiante dans les cégeps de la région
La ministre David a profité de son passage dans le Bas­Saint­Laurent pour annoncer une aide financière de 355 700 $ aux cégeps de La Pocatière, de Matane, de Rimouski et de Rivière-­du-­Loup dans le cadre de la mesure de mobilité étudiante dévoilée récemment, qui vise à soutenir l’offre de formation collégiale et à mieux répondre aux besoins de main-­d’œuvre en région.